l'acteur

L’acteur : quand Raphaël Quenard joue le comédien

Dans un court faux-documentaire réalisé par Hugo David, on suit l’acteur Raphaël Quenard dans le tournage du film Chien de la casse. Une parodie des documentaires du type Montre jamais ça à personne, mais en version « comédien raté ».

À lire également : Mort à 2020 : un faux documentaire ultra-satirique sur l’année 2020

Synopsis de L’acteur

« Raphaël est acteur. Il joue pour la première fois le rôle principal d’un long métrage. Cependant, personne ne comprend pourquoi il a été choisi. D’ailleurs, personne ne le comprend vraiment… »

France.tv
l'acteur

Les « coulisses » d’un tournage plus compliqué que prévu

En réalité, le tournage de Chien de la casse, ce n’est pas que celui du comédien qui tient le premier rôle, mais aussi (et peut-être surtout) du réalisateur, Jean-Baptiste Durand. Il est longuement interrogé sur sa vision de son long métrage, du choix de son acteur principal et de sa manière de le gérer.

D’entrée, on comprend que Raphaël Qenard n’est pas n’importe quel acteur : il n’est en fait pas vraiment un acteur, mais plutôt un comédien de seconde zone. Un « comédien » oui, mais qui ne se prend pas pour personne.

l'acteur

Raphaël Quenard en mauvais intellectuel, ça fonctionne toujours

Dans L’acteur, Hugo David suit surtout Raphaël Quenard, depuis reconnu comme « figure montante » du cinéma français, et presque incontournable désormais. C’est là que le mockumentaire renverse la balance, en le présentant comme un abruti complet.

Un idiot qui pourtant ne pense pas l’être : il se voit en intellectuel profond, qui réfléchit sur le cinéma. Et c’est là qu’est toute la force de L’acteur. On écoute des dialogues entre le cadreur et le comédien, dans lesquels ce dernier déclare des choses faussement intelligentes, qui n’ont ni queue, ni tête. Et le pire dans tout ça, c’est qu’on lui dit, mais que lui semble ne pas s’en rendre compte !

l'acteur

En quelques mots, L’acteur c’est un faux-documentaire disponible gratuitement sur France.tv, qui dure 25 minutes et qui se dévore rapidement.

À lire également : « Le Splendid » dans « Un jour, un destin » : retour sur la troupe à l’origine des Bronzés


Publié

dans

, , , ,

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *